Guerre médiatique de la France contre l’Algérie : décryptage

Par Ahmed Bensaada
En octobre 1989, apparaissait dans le magazine militaire américain « Marine Corps Gazette », l’article intitulé : « The Changing Face of War: Into the Fourth Generation »[1]. Cet article, signé par William S. Lind et ses coauteurs militaires, lança le concept de « Guerre de quatrième génération » (G4G).
On peut y lire :
Lettre ouverte aux autorités de l’Algérie et du Mali
Nous, citoyens algériens et maliens,
- Préoccupés par la crise actuelle entre nos deux pays et les conséquences imprévisibles de toute action d’escalade dans ce conflit;
- Soucieux de la préservation de la paix et le maintien d’une bonne relation entre nos deux pays;
- Conscients de la sagesse des dirigeants de nos deux pays, l’Algérie et le Mali, unis par un destin commun, partageant une frontière de près de 1400 km et un espace géographique commun (le Sahel);
Le Quai d’Orsay et le lobby pro-israélien, principaux soutiens de Boualem Sansal
De mémoire d’observateur assidu, le tsunami médiatique français qui a accompagné l’affaire de l’écrivain algéro-français Boualem Sansal a été sans précédent. Les médias mainstream ont vomi à exhaustion, le cyberespace a failli prendre feu, les organisations droitdelhommistes ont chouiné à satiété et les amphithéâtres ont tremblé sous les décibels et des litres de postillons.
Kamel Daoud, l’écrivain qui vomit sur son peuple
En 2016, j’ai écrit un livre sur l’idéologie véhiculée par les écrits de Kamel Daoud[1]. En les analysant sous la grille précise d’Albert Memmi[2], il devenait évident que cet écrivain était l’archétype du néocolonisé qui cherche à « ressembler du plus près au blanc ».
Aime VI, Jupiter et le Grand Blond avec un trou dans l’oreille
C’est l’histoire d’un drôle de trio : un lourdaud à qui on a planté une couronne royale plus grande que la tête, un grand blond qui pense gouverner le monde malgré ses difficultés capillaires avec sa mèche rebelle et un ancien banquier qui, à la brunante, aime se grimer en Jupiter
Le « noyau » dur de Khaled Drareni
Les rumeurs sur l’apparition cathodique de Khaled Drareni, le « journaliste autoproclamé du Hirak »[1], battent actuellement leur plein, créant tangage et roulis dans l’infosphère. Partisans contre détracteurs, groupies contre vomisseurs ainsi que badauds saprophytes squattant le cyberespace à la recherche d’une éventuelle cyber-bagarre, donnant un coup par ci, un coup par là. Tout le monde s’en donne à cœur joie.





