Qui ne se souvient pas du célèbre roman de Margaret Mitchell « Autant en emporte le vent » porté à l’écran en 1939.
Esthétiquement admirable, cette œuvre relate, sur fond de guerre de Sécession, l’écroulement d’un mode vie et des « valeurs » prônées par un Sud blanc, raciste et esclavagiste.
« On dirait une plaisanterie », « Imposture à l’ONU », « Humour noir à l’ONU », « L'errance des droits de l'Homme à l'ONU », « Tollé au Conseil des droits de l'Homme », « Main basse sur les droits de l'Homme à l'ONU », etc.
Non, M. Driencourt. La France n’a pas besoin de l’Algérie pour s’effondrer, comme vous l’avez beuglé dans votre récent article. Avec des diplomates comme vous, elle sombre toute seule, sans assistance aucune.
Sultana Khaya, la célèbre militante sahraouie, a dû rester sans voix en apprenant que le Maroc briguait la présidence du Conseil des droits de l’Homme (CDH) de l’ONU. « Rien que ça! » a-t-elle dû se dire en se remémorisant douloureusement ce 15 novembre 2021.